Dans un entretien au « Monde », le cinéaste explique que le livre d’Aharon Appelfeld, dont est adapté son film, fait écho à son propre roman familial.
Emmanuel Finkiel à Beverly Hills (Californie),en novembre 2018. VALÉRIE MACON/AFP Après Voyages (1999) et La Douleur (2017),le réalisateur Emmanuel Finkiel poursuit,avec La Chambre de Mariana,adapté de l’écrivain israélien Aharon Appelfeld,son exploration de la seconde guerre mondiale et de ses traumas,à travers l’histoire d’une prostituée ukrainienne qui,dès 1942,cache un enfant juif. Le cinéaste revient non sans fébrilité sur ce passé douloureux et sur cette époque actuelle qui le laisse intranquille.
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